Chaque métier a ses spécificités et le défi des assureurs est de pouvoir proposer des solutions sur-mesure aux entrepreneurs en ayant une connaissance du terrain.
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Lorsqu’on lance son entreprise, plusieurs interrogations essentielles se posent rapidement : comment créer un nouveau concept ou apporter une valeur ajoutée par rapport à la concurrence ? Le business plan tient-il la route ? Quand arrivera-t-on au seuil de rentabilité ? Quelle rémunération peut-on espérer ? Etc. Parmi ce flot de questionnements, se tailler une part de sérénité en ayant la garantie d’être correctement assuré n’est pas un luxe.
Et qu’on y pense rapidement ou pas, encore faut-il pouvoir choisir le bon produit. Pour cela, on ne s’invente pas assureur, et il est essentiel de passer par les conseils d’un professionnel. Dans ce domaine, les challenges sont donc nombreux, comme l’explique Renaud Dejardin, Directeur Commercial Sud chez Baloise. « Les challenges sont évidemment nombreux car on parle d’une matière complexe, en constante évolution », débute-t-il. « Je dis toujours aux indépendants qu’ils sont experts dans leur domaine, et qu’il est bon de s’adresser à un expert pour ses assurances. Passer par un courtier qui connaît son sujet et qui propose différents produits, cela permet de se décharger, aussi mentalement. »
Protéger son entreprise avec les bons outils, c’est déjà poser les bases de son succès.
Selon lui, le rôle d’un courtier est essentiel pour installer une relation de confiance. « On sait qu’aucune entreprise n’est identique, que chacune a une situation propre, qu’on parle d’un indépendant seul ou d’une PME, les besoins sont tous différents. Le job d’une compagnie d’assurance est de proposer des produits de qualité. Le rôle du courtier, c’est d’être un conseiller de confiance qui, rappelons-le, suit une formation continue pour être à jour sur les différents produits existants et la législation en vigueur. »
Éviter les doublons, et les lacunes
Une enquête a été réalisée par la compagnie d’assurance Baloise pour mieux cerner les besoins des entrepreneurs. Il en ressort que pour la grande majorité des entreprises, une offre standardisée mais taillée pour les PME couvrira les risques courants. Renaud Dejardin ajoute : «L’étude montre que les PME sont désireuses de regrouper leurs assurances au sein d’un package et c’est logique : cela permet de garantir qu’il n’y ait aucune double couverture, ni lacune. » Baloise dit vouloir miser sur une approche globale des besoins de l’entrepreneur, tant pour couvrir les risques divers (véhicule, machines, etc.) que pour se protéger lui-même ou ses collaborateurs. Dès lors, Baloise a développé le plan PME: une formule packagée, qui regroupe les polices d’assurances essentielles pour chaque PME et qui revêt plusieurs avantages. « La possibilité d’échelonner les paiements, des conditions tarifaires avantageuses grâce au package et une participation bénéficiaire reversée au client pouvant aller jusqu’à 15% de la prime. »
Si on peut standardiser toute une série de choses, certaines entreprises ont des besoins uniques. Lorsqu’il s’agit d’activités qui nécessitent une approche sur mesure, Baloise fait appel à ses Field Underwriters (souscripteurs de terrain) qui se rendent sur place pour faire l’évaluation du risque avec le client. « Nous sommes une des rares compagnies à proposer ce service. Cette flexibilité et cette approche personnalisée constituent un réel atout pour Baloise » indique le directeur commercial.
Être bien assuré, c’est entreprendre en toute sérénité.
Les PME comme moteur de croissance
La compagnie originaire de Bâle nourrit de grandes ambitions de croissance en Belgique et singulièrement au Sud du pays. « Nos activités en Wallonie et à Bruxelles ont commencé il y a une dizaine d’années. Notre siège est à Bruxelles, mais nous avons ouvert une base commerciale à Namur, début décembre, pour nous rapprocher de nos courtiers partenaires. »
Avec plus de 1,1 million de PME et une croissance annuelle du segment de 4%, la Belgique représente un énorme potentiel de croissance pour Baloise. L’assureur a depuis longtemps fait le choix du courtier comme intermédiaire de confiance pour la commercialisation de ses produits d’assurance. « Une PME a besoin d’être bien accompagnée et le courtier est clairement l’acteur le mieux placé pour cela. D’une part, il est indépendant vis-à-vis des compagnies d’assurance et tire sa force dans le conseil et d’autre part, il est lui-même dirigeant d’entreprise et comprend donc mieux que quiconque les besoins des PME. », conclut Renaud Dejardin.