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PME et TPE face à la complexité de la gestion salariale

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La gestion des salaires reste un casse-tête pour les petites entreprises. Des solutions personnalisées émergent pour répondre à leurs besoins spécifiques. 

© PHOTOS : MARTIN PILETTE

Bérangère Bernard

Managing Director de Dynamik HR

Sébastien Dulière

Sales & Communication Officer de Dynamik HR

Pour de nombreuses petites entreprises, la gestion des salaires reste un défi de taille. En Belgique, la législation sociale est à la fois dense, mouvante et parfois régionalisée. Or, les formules proposées par les secrétariats sociaux traditionnels tendent à standardiser l’accompagnement. Résultat : les PME et les très petites entreprises (TPE) peinent à suivre le rythme, alors même que la charge administrative liée au payroll est aussi lourde pour elles que pour une grande structure. 

Une alternative sur mesure pour les petites structures 

Ce constat est partagé par Bérangère Bernard et Sébastien Dulière de Dynamik HR, un bureau salarial installé à Louvainla-Neuve. Fondé en 2014, il propose une alternative plus personnalisée à ces petites structures. « Lorsqu’un entrepreneur engage pour la première fois, il ne mesure pas toujours l’ampleur des démarches à accomplir, explique Bérangère Bernard. De la gestion correcte des premiers salaires aux obligations en matière de prévention et bien-être au travail, les pièges sont nombreux. C’est presque aussi complexe que de créer sa société. » 

Pour les petites entreprises, la gestion salariale n’est pas qu’une question de chiffres : c’est un défi humain, administratif et stratégique, qui exige un accompagnement aussi proche que personnalisé.

L’humain au cœur de la gestion RH 

Un accompagnement sur mesure permet de mieux cerner les attentes des clients, notamment en matière de politique RH cohérente et adaptée, devenue un levier crucial pour attirer – et conserver – les talents. Mais au-delà des outils, c’est la relation humaine qui fait la différence. « Les clients recherchent un partenaire capable d’écouter, de rassurer, et de s’adapter à leur réalité », souligne Sébastien Dulière. La proximité devient ici un gage de confiance. 

Pour ces petites structures, déléguer la gestion salariale, c’est avant tout un moyen de se recentrer sur leur activité principale, tout en assurant la conformité légale. Le bon partenaire ne se limite pas à un rôle administratif : il agit comme un guide dans un écosystème de plus en plus technique. 

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