OneLife est un prestataire de services financiers qui aime faire les choses autrement. La compagnie offre aux conseillers financiers indépendants l’accès à une gamme de solutions belges d’assurance et de gestion de patrimoine qui tirent pleinement parti de “l’ingénierie financière” luxembourgeoise. Laurent Lachapelle et Nicolas Milos expliquent ce que cela signifie.

Laurent Lachapelle
Consultant OneLife

Nicolas Milos
Avocat au barreau de Bruxelles
Depuis 1991, la compagnie d’assurance-vie OneLife propose des produits financiers via l’intermédiaire de courtiers spécialisés en placement qui souhaitent offrir un petit plus à leurs clients. « En Belgique, lorsqu’on veut investir dans des fonds, on se retrouve rapidement face aux quatre ou cinq grandes banques qui se partagent soigneusement le marché », explique Laurent. « Cela n’a rien de mauvais en soi, mais personne n’est le meilleur dans tout. Dans les grandes banques on retrouve le plus souvent les produits « maison » et rarement les fonds d’autres enseignes. Le contrat d’assurance placement permet, en architecture ouverture, de proposer les fonds de gestionnaires indépendants soigneusement sélectionnés par la compagnie et ses critères qualitatifs propres. »
Des solutions patrimoniales professionnelles
Cette manière de travailler rappelle l’approche des gestionnaires de fortune haut de gamme, généralement hors de portée des investisseurs moyens. Pourtant, BeLife est accessible dès 10 000 euros. Il s’agit d’une solution de placement revêtant la forme d’un contrat d’assurance-vie Branche 23, permettant d’investir le capital dans un large éventail de fonds et de passer facilement d’un investissement à un autre. Cela offre des avantages en matière de diversification des risques, de fiscalité et de planification successorale. « Le contrat d’assurance Branche 23 doit être considéré comme une sorte d’enveloppe. », précise Laurent. « Nous opérons sur le marché belge par l’intermédiaire de courtiers indépendants spécialisés en matière d’investissement. En termes de coûts pour le client-investisseur, cette structure n’est pas pénalisante, une transparence accrue en la matière étant exigée par la réglementation en vigueur. »
Investir en Belgique, tout en profitant d’un univers de fonds international
Toutes les transactions passent par des institutions financières belges et le produit est supervisé à la fois par la FSMA en Belgique et le Commissariat aux Assurances luxembourgeois. BeLife étant le produit proposé par la succursale belge, le souscripteur n’a pas besoin d’effectuer de déclaration fiscale supplémentaire, contrairement à un contrat proposé par OneLife au Luxembourg. Le capital investi ne quitte ainsi pas le territoire belge. Le client a de plus accès à une vaste sélection de fonds externes, dont la valeur peut être suivie à tout moment en ligne via des plateformes sécurisées.
Finesse juridique et fiscale qui fait la différence
OneLife se démarque par son expertise pointue en matière de Branche 23. « De nombreuses compagnies belges exploitent insuffisamment les subtilités et les particularités de la Branche 23 », explique Nicolas, avocat au barreau de Bruxelles. « En effet, c’est notamment le cas en matière de planification successorale. Il est par exemple parfaitement possible de formuler et d’encadrer légalement les conditions d’une donation grâce à la loi relative aux assurances, s’imposant à la compagnie d’assurance. Par exemple, elle devra légalement obtenir l’accord écrit du donateur lorsque le ou les bénéficiaires de la donation souhaitent disposer des sommes investies dans le contrat d’assurance. Plus loin, lorsqu’un contrat est souscrit avec deux titulaires (on parle alors de « co-souscription »), et en cas de décès de l’un d’eux, le souscripteur survivant (souvent l’époux survivant) devient automatiquement le preneur d’assurance unique et ne doit, pour ce faire, que fournir l’acte de décès à la compagnie afin d’avoir accès aux fonds investis. En termes pratiques, tout blocage de compte souvent constaté à l’ouverture d’une succession est ainsi évité. Cette opération peut être optimisée en matière de droits successoraux. Il existe également de nombreuses possibilités facilement implémentables sur le contrat d’assurance-vie et portant sur un démembrement de propriété (usufruit/nue-propriété) ou encore sur la technique dite de “generation skipping”. Enfin, la Branche 23 est aussi un véhicule fiscalement très attractif au vu de la prochaine application de la fameuse « taxe sur la plus-value sur actifs financiers ». Le contrat d’assurance-vie démontre d’une fiscalité simplifiée, car la future taxe sur les plus-values ne s’appliquerait qu’en cas de rachat par le preneur d’assurance ».»
Conclusion
La conclusion est claire : grâce à BeLife et son savoir-faire luxembourgeois, OneLife se positionne comme un pont entre l’assurance belge traditionnelle et la gestion patrimoniale de haut niveau. Le produit combine la transparence et le contrôle d’un cadre belge avec la flexibilité et l’expertise de l’ingénierie financière luxembourgeoise. Ainsi, même les investisseurs particuliers disposant d’un capital de départ limité peuvent bénéficier de solutions autrefois réservées à quelques privilégiés. Dans un marché souvent dominé par les grandes banques, OneLife propose une alternative rafraîchissante : plus de choix, plus de contrôle et davantage de possibilités pour construire et transmettre son patrimoine de manière réfléchie.
Celui qui souhaite investir dans des fonds dans notre pays se retrouve souvent rapidement face aux fonds « maison » des quatre ou cinq grandes banques qui se partagent soigneusement le marché entre elles.